par Massimo Colaiacomo
Peut-être il ne sera pas l'homme du destin, mais sûrement François Fillon peut être l'homme just qui rassemble les Français autour un nouveau project politique qui affranchie le Pays des plus récent grisaille, de la baisse croissance, de l'égarement social et, en definitive, de la perte d'identité. Ces sont les multiples signals qui sont arrivés par le ballottage aux élections primaire du dernière dimanche. Un pays désanchanté a retrouvé soi-même merci à la mobilisation sans pair pour rejoindre le bureau de vote et choisir Monsieur Fillon comme défiant des autres candidat au prochaine élections présidentielle.
Que-est ce que veut dire tout ça? Ça peu représenter beaucoup des choses, mais surtout signifier que le refus de la politique n'est pas une maladie incurable, au moins en France. Fillon est réussi à convaincre plus que 4 millions de français à se rendre aux bureaux de vote pour choisir le candidat de droite aux élections présidentielle de 23 april. Il s'agit d'un premier signal de fiance retrouvée dans la possibilité de changer les choses sans confier ses espoirs à les sirènes du populisme ou de nationalisme sans autre horizon politique. C'est vrai, comme a observé quelque analyste, que l'Europe ne représente un chapitre important ni le principal dans le programme de Fillon, mais les rares lignes y dédié sont suffisantes pour donner une idée claire sur le point de vue de Fillon. Stop au Traité de Maastricht, au moins dans la vision jusqu'ici donnée par l'Allemagne et les autres Pays du Nord-Europe, et plus d'espace aux intérêts national dont leur somme doit sortir une autre Unione Européenne.
Mais encore plus importante parâit-il le sentiment de la différence avec la droite de Marine Le Pen. Madame Le Pen représente aussi bien le côté social qu'elle se peut, à juste titre, s'établir comme une petite partie de l'héritage gaulliste. Fillon promet de dépasser celle héritage-là ou, au moins, de la renouveler suivant la défi de la globalisation et alimenter une nouvelle dimension du liberalism qui doit se mettre au croisement entre les intêréts nationaux et les exigences du libre marché. Fillon se promit une forte destatalitation, en recourant à la réduction des employés et des fonctionairs, une relance des professions libérales et une générale baisse des taxes.
Il s'agit de la même surenchère qui précéde les elections? C'est très difficile de le penser, encore plus difficile de le croire. Parce-que Fillon se trouve au point plus haut de sa parabole politique. Il joue sa reputation, pas seulement devant les Français mais surtout devant l'Europe. Il doit réaliser au moins une bonne partie des ses engagement s'il veut vraiment changer la France. Et un changement en France déviendra, qu'il plaire ou non, le changement de l'Europe comme nous l'avons jusqu'ici connue et souffrie.
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